A couple years ago, I was interviewing for a job as digital design director at a (well-known) branding agency. After the usual pleasantries, we landed on the details of what the role would entail. To my dismay, the agency’s interpretation of « digital » was simply putting a new logo onto website mockups at the tail end of an extensive guidelines document. It was clear that digital was very much an afterthought in their branding process and that the position was not for me.
This lack of understanding about the role of digital was disappointing, but unfortunately it was not surprising. Most friends of mine working at branding agencies use the same top-down, siloed process. And let’s be clear, I have a lot of respect for their talent and the great design work they do. But, I believe that the old way of doing things—developing the strategy, then designing the brand and then the application—is in desperate need of a rethink. At a time when brand experiences are often based upon touch, sound, and voice, how can a branding process that starts out from a purely visual perspective ever possibly succeed?
In October last year we posted best sources to learn UX. We wanted to take this matter further since UX as well as discussing and exploring User Interface design(UI) is lately very popular. We know that a positive user experience can boost business and customer satisfaction.
Unfortunately, a study conducted by Uxeria.com shows that 44% of online shoppers evaluated online stores negatively. More than 40% of shoppers agreed that location of products on a site was unintuitive. No good.
Every UX Designer or Web Designer should seek to design an app or a website enjoyable to use. The main objectives on which designers should primarily focus are: functionality, intuitiveness, usability and in the case of eg. online stores — conversion. Frequently, however, many designers concentrate on visual effect rather than the function. Nice-looking site is not enough to engage the user.
Au moment de faire évoluer son écosystème digital, quelles questions un annonceur doit-il se poser pour s’assurer de choisir la meilleure agence digitale pour sa marque ? Nous avons cette fois-ci mené l’enquête auprès de dirigeants d’agences, de holding, de cabinet de sélection, et d’annonceurs.
Comme l’indique Julien Chailloux, DGA de 1000mercis, « l’écosystème digital est très loin de s’apaiser et continue de proposer chaque matin de nouvelles solutions. Il y a toujours plus d’innovations technologiques permettant chaque jour de réinventer la communication des marques. Les usages changent plus vite que jamais. » Des usages menés par des individus « ultra-connectés et ultra exigeants » vis-à-vis des marques selon Sandrine Plasseraud, directrice générale de l’agence We Are Social.
Pourquoi une telle exigence ? Car comme l’explique Yannick Bolloré, PDG du Groupe Havas : « le digital est désormais au cœur de l’expérience client, et donc des préoccupations des annonceurs ».
Start-up, ubérisation du travail, commerces et services en ligne, objets connectés et imprimantes 3D, ce basculement de l’économie traditionnelle vers l’économie digitale génère de nouveaux langages de marque liés aux nouveaux comportements d’achats.
Les noms et les symboles des marques de la nouvelle économie collent à la nervosité et la rapidité de croissance développée par cette économie. Une entreprise issue de la nouvelle économie se déploie à l’échelle de la planète sans passer par la case traditionnelle du marché local, son terrain de jeu est dès le départ la planète. Le « digital native » ne consomme plus un produit matérialisé dans un lieu bien en dur, mais navigue dans un univers dématérialisé. Son acte d’achat passe par un like puis un clic, et si c’est un bon plan à partager, il le tweet ou envoie un messenger à sa communauté d’amis.
Les professionnels du marketing et de la communication, en agence ou chez l’annonceur, essayent de se conformer à marche forcée aux nouveaux paradigmes digitaux. Une stratégie payante ? Une tribune de Michel Sara de ROI\marketing.
L’utilisation « marketing » des réseaux sociaux fut et demeure un point culminant de ce nouvel évangile avec ses deux grands changements présentés comme révolutionnaires :
– Une possibilité de toucher gratuitement des millions de fans ou followers par des posts de marques habilement distillés
– Un bouleversement radical dans l’interaction marques / consommateurs, passant d’un dialogue vertical imposé à une « lune de miel » conversationnelle, engendrant une nouvelle sémantique : communication 2.0, consom’acteurs, etc.
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